Felix MENDELSSOHN (1809-1847) : Jakob Ludwig
Felix Mendelssohn Bartholdy, plus couramment appelé Felix Mendelssohn,
est un chef d'orchestre, pianiste et compositeur allemand du
début de la période romantique.
Après des succès précoces en Allemagne,
il voyage dans l'Europe entière, il est particulièrement bien
accueilli en Grande-Bretagne,
où, au cours de ses dix visites, sont créées plusieurs de ses
œuvres majeures. Contemporain de Litz, Wagner, Berlioz, il
laisse une œuvre très féconde pour sa courte vie : symphonies, concerti, oratorios, œuvres pour piano seul, musique de chambre ...
On lui doit la redécouverte de la musique baroque et surtout de Jean-Sébastien Bach et Georges-Frédéric Haendel.
Francesco DURANTE (1684-1755) est né dans une famille de musiciens. En 1699, à la morte de son père, il
se rend à Naples en 1699 pour poursuivre ses études musicales auprès
de son oncle Angelo. Durant quelques mois, entre 1710 et 1711, il enseigne au conservatoire de Sant'Onofrio avant de prendre le chemin de Rome
où il séjourne probablement en 1718. En 1728, nommé
maître de musique au Conservatoire dei Poveri di Gesu Cristo à Naples où il a Giovanni Battista Pergolesi comme élève.
À partir de 1745
et jusqu'à sa mort, il cumule cette charge avec celle de «primo
maestro» de Sant'Onofrio.
Durante, qui touche tous les genres de
musique, laisse une œuvre extrêmement abondante. Il est regardé au XIXe siècle
comme le chef de l'école musicale moderne. Son
œuvre est immense et 62 volumes manuscrits sont conservés à la Bibliothèque Nationale de France.
Franz SCHUBERT (1797-1828) : La Messe no 2 en sol majeur D.167 est une œuvre composée par Franz Schubert en 1815. C'est la plus connue des trois «courtes» messes composées par Schubert. Cette seconde messe est composée en moins d'une semaine (2 au 7 mars 1815). Elle est d'abord orchestrée plus modestement que la première avec seulement un orchestre à cordes et un orgue accompagnant le chœur et les solistes soprano, ténor et baryton. La partition originale n'est imprimée qu'en 1845, après la mort de Schubert, et cette messe reste une des œuvres les moins connues de Schubert. À part quelques passages de la soprano, les interventions des solistes sont très modestes. Caractéristique de Schubert, il est plus intéressé par le sentiment général de dévotion de la composition que par l'expression romantique individuelle.